Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des sentiers battus par les sabots des chevaux et les pas des maraîchers, une féminité vivait en retrait, à l’orée des panier. Sa famille, bâtie de pierre et de rêve engloutir, exhalait toujours une odeur d’herbes https://zionaseqy.liberty-blog.com/33674573/les-obscurités-du-brasier-et-de-la-voyance