Le vent hurlait à travers les hautes bastia de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs de pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite assemblée de exercice, un moine s’éclairait à la illumination vacillante d’une chandelle. La billet était emplie de l’odeur du parchemin ancestral et de https://andregijij.mpeblog.com/59237961/l-encre-de-la-destinee