Callista resta de longues heures à boulonner l’horizon, à l’affût du moindre frémissement un certain remous ou d’un écho lointain qui lui apporterait un contact. Pourtant, la mer demeurait compact, silencieuse de façon identique à un ciel sans étoiles. Le chant des sirènes avait trépassé, et avec lui, la seule https://johnathanxqeow.azzablog.com/33999520/les-lame-immobiles