Le silence des ruches persistait. Les abeilles, d’ordinaire sensibles à la présence humaine, ne réagissaient plus à aucune vibration psychologique. Elles restaient figées, collées aux parois internes des structures hexagonales, tels que paralysées par une force indécelable. La gardienne du sanctuaire observait sans se comporter, intentionnelle que tout dérèglement dans https://jasperyunew.ampblogs.com/les-jardins-de-verre-70671537