Au cœur des ruelles labyrinthiques de Makoko, quartier flottant de Lagos, les voix se mêlaient aux klaxons, aux cris des équipes, aux sons métalliques des barques qui s’entrechoquaient. Là, tout s’échangeait : marchandises, religieux, rumeurs. Et c’est dans cette cacophonie vivante qu’Abeni installa son modeste étalage, par-dessous une toile décolorée, https://keeganmeujx.xzblogs.com/74768007/le-prix-des-équilibres