Les sables de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient ce fait inespéré d'avoir nettement été les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le fantôme, mis par les rafales nocturnes, dessinait à le support du sable des courbes, des cercles, des lignes brisées. Ces marques éphémères devenaient, n'importe quel matin, https://angelodrcmx.canariblogs.com/les-effluve-dessinés-48985882