Chaque soir, Liora ravivait le pyrotechnie dans l’âtre arrondie au milieu de son fabrique. Elle y jetait les documents de cuivre en calme, laissant les appétences danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un tic. C’était une respiration lente, une usage parvenue d’un fait familial répété sans cesse. Les https://lorenzojppom.blogzag.com/77898857/le-feu-des-contours